Nokia a aujourd'hui annoncé le lancement prochain d'un nouveau smartphone de milieu de gamme mettant l'accent sur une prise en main « hybride » innovante. Le « Nokia X3 Touch and Type » combine pour ce faire un écran tactile à un clavier physique traditionnel.
« Les consommateurs de longue date veulent continuer à pouvoir envoyer des SMS au clavier, tout en bénéficiant des possibilités offertes par l'écran tactile », affirme Mary McDowell, vice-président directeur de la division téléphones mobiles chez Nokia.
Le clavier physique ne sert donc qu'à la saisie de texte et abandonne de fait le pavé directionnel et les touches contextuelles (soft keys) habituels, auxquels l'écran tactile se substitue, pour se contenter du minimum syndical. Quelques boutons physiques (touches téléphone, raccourcis ou déclencheur d'appareil photo) offrent néanmoins une meilleure prise au main, au toucher, qu'avec un smartphone tout tactile, pour un encombrement négligeable. L'écran tactile mesure quant à lui 6 cm de diagonale (2,4 pouces) et affiche une définition QVGA (320 x 240 pixels).
Sur le plan technique on retrouve par ailleurs une fiche technique plutôt riche pour le positionnement tarifaire. Le Nokia X3 embarque une connectivité sans fil 3G HSPA quadri-bande, Wi-Fi N et Bluetooth 2.1, tandis qu'un récepteur FM, une prise casque standard et un appareil photo à 5 millions de pixels forment le penchant multimédia du terminal. Il fonctionne enfin sous S40, fourni en standard avec des clients email (prise en charge d'Hotmail, de Yahoo Mail et de Gmail notamment), de messagerie instantanée (Windows Live Messenger, Yahoo Messenger et Google Talk) et de réseaux sociaux (Facebook et Twitter).
Le Nokia X3 Touch and Type sera commercialisé en France à partir du quatrième trimestre 2010 au prix public de 200 euros (hors subvention).
dimanche 22 août 2010
YP-MB2 : le Samsung Galaxy en MP3.
Objet de rumeurs depuis le début de l'été, la déclinaison baladeur du Galaxy S, le dernier smartphone haut de gamme de Samsung, semble se confirmer au vu des quelques clichés récemment publiés par un site sud-coréen. Le fabricant, qui a d'ores et déjà annoncé son intention de proposer une tablette tactile de 7 pouces sous la marque Galaxy, semble donc prêt à adopter une voie similaire à celle qu'avait choisi Apple en 2007, en élaborant le baladeur iPod Touch à partir de son premier smartphone, l'iPhone.
Ce baladeur, qui serait enregistré sous la référence YP-MB2, adopterait donc un design assez proche de celui du Galaxy S. Il perdrait logiquement les capacités de ce dernier en matière de téléphonie mobile, et profiterait d'un appareil photo légèrement moins performant que celui de son ainé, avec un capteur 3 mégapixels. Pour le reste, on retrouverait Wifi, Bluetooth, un processeur ARM cadencé à 1 GHz, un écran Super Amoled de 4 pouces (10,16 cm) et le système d'exploitation mobile de Google, Android, la version exacte restant à déterminer.
Côté prix, de précédentes rumeurs évoquaient la somme de 250 euros, sans qu'on sache les capacités de stockage retenues par Samsung. Le salon IFA, qui ouvrira ses portes début septembre à Berlin, sera peut-être l'occasion pour le sud-coréen de confirmer l'existence du YP-MB2, d'ores et déjà surnommé Galaxy Touch sur le Web.
Ce baladeur, qui serait enregistré sous la référence YP-MB2, adopterait donc un design assez proche de celui du Galaxy S. Il perdrait logiquement les capacités de ce dernier en matière de téléphonie mobile, et profiterait d'un appareil photo légèrement moins performant que celui de son ainé, avec un capteur 3 mégapixels. Pour le reste, on retrouverait Wifi, Bluetooth, un processeur ARM cadencé à 1 GHz, un écran Super Amoled de 4 pouces (10,16 cm) et le système d'exploitation mobile de Google, Android, la version exacte restant à déterminer.
Côté prix, de précédentes rumeurs évoquaient la somme de 250 euros, sans qu'on sache les capacités de stockage retenues par Samsung. Le salon IFA, qui ouvrira ses portes début septembre à Berlin, sera peut-être l'occasion pour le sud-coréen de confirmer l'existence du YP-MB2, d'ores et déjà surnommé Galaxy Touch sur le Web.
samedi 21 août 2010
Meizu M9
Meizu prépare le M9, un nouveau smartphone s'inspirant fortement, doux euphémisme, de l'iPhone 4. Jack Wong, PDG du fabricant chinois qui commercialise un clone assumé du premier smartphone d'Apple, a effectivement récemment quelques détails concernant le nouveau modèle, avec en particulier quelques captures d'écrans qui révèlent qu'il emprunte à l'iPhone 4 l'un de ses principaux point distinctif.
Le « Meizu M9 » arborera effectivement un écran d'une définition de 960 x 640 pixels, la même que l'écran Retina du modèle, pour une diagonale de 3,6 pouces. Les captures d'écrans montrent quant à elles une interface qui rappelle indéniablement celle d'iOS. On pourra néanmoins arguer que cette dernière tombe tant sous le sens qu'elle n'a rien d'original. Le studio de création en charge de l'interface, Eico, compte d'ailleurs parmi ses clients des sociétés comme Google ou HTC, pour lesquels il a conçu des interfaces, et notamment TouchFLO 3D.
Le futur smartphone abandonnera par ailleurs son système d'exploitation basé sur Windows CE au profit d'Android 2.2, dernière version en date. Le Meizu M9 est toujours attendu en Chine pour le mois d'octobre.
Le « Meizu M9 » arborera effectivement un écran d'une définition de 960 x 640 pixels, la même que l'écran Retina du modèle, pour une diagonale de 3,6 pouces. Les captures d'écrans montrent quant à elles une interface qui rappelle indéniablement celle d'iOS. On pourra néanmoins arguer que cette dernière tombe tant sous le sens qu'elle n'a rien d'original. Le studio de création en charge de l'interface, Eico, compte d'ailleurs parmi ses clients des sociétés comme Google ou HTC, pour lesquels il a conçu des interfaces, et notamment TouchFLO 3D.
Le futur smartphone abandonnera par ailleurs son système d'exploitation basé sur Windows CE au profit d'Android 2.2, dernière version en date. Le Meizu M9 est toujours attendu en Chine pour le mois d'octobre.
Dell Inspiron Mini
Dell relance l'actualité dans le domaine du netbook, en berne depuis quelques semaines, mettant un terme à une rare accalmie depuis l'avènement du mini portable à bas prix. Le fabricant se contente pour ce faire d'annoncer qu'il s'apprête à mettre à niveau le dernier survivant de sa gamme, en lui faisant adopter la toute dernière génération de processeur à basse consommation de la famille Intel Pine Trail. Il devient au passage entièrement noir, abandonnant la couleur blanche extérieure.
Le nouveau « Dell Inspiron Mini », répondant désormais à la référence 1018, abrite donc un processeur Intel Atom N455, intégrant un contrôleur de mémoire vive DDR3, et non de DDR2 contrairement à son prédécesseur. La dernière norme de mémoire consomme un peu moins que la précédente et devrait donc apporter un très léger gain d'autonomie, en plus d'un très léger gain de performance, mais il n'y a pas de raison de s'en priver !
En plus de l'Atom N455 et de 1 Go de DDR3 à 1 333 MHz, on retrouve par ailleurs la même fiche technique, avec un disque dur de 160 Go à 5400 tours/min, un lecteur de carte mémoire, du Wi-Fi N mais pas de Bluetooth ni de 3G, 3 ports USB 2.0, une sortie VGA mais pas de HDMI, le tout sous un écran WSVGA (1366 x 768 pixels) de 10,1 pouces surmonté d'une webcam VGA (640 x 480 pixels). Sa batterie à 3 cellules de série lui confère un poids de 1,2 kg pour une autonomie non communiquée.
Le nouveau « Dell Inspiron Mini », répondant désormais à la référence 1018, abrite donc un processeur Intel Atom N455, intégrant un contrôleur de mémoire vive DDR3, et non de DDR2 contrairement à son prédécesseur. La dernière norme de mémoire consomme un peu moins que la précédente et devrait donc apporter un très léger gain d'autonomie, en plus d'un très léger gain de performance, mais il n'y a pas de raison de s'en priver !
En plus de l'Atom N455 et de 1 Go de DDR3 à 1 333 MHz, on retrouve par ailleurs la même fiche technique, avec un disque dur de 160 Go à 5400 tours/min, un lecteur de carte mémoire, du Wi-Fi N mais pas de Bluetooth ni de 3G, 3 ports USB 2.0, une sortie VGA mais pas de HDMI, le tout sous un écran WSVGA (1366 x 768 pixels) de 10,1 pouces surmonté d'une webcam VGA (640 x 480 pixels). Sa batterie à 3 cellules de série lui confère un poids de 1,2 kg pour une autonomie non communiquée.
H760 : un nouveau casque-micro sans fil
Le H760 bénéficie d'une portée maximale de 12 mètres et d'une autonomie de 6 heures avant de devoir être rechargé. Sa batterie interne se recharge en 2 heures 30 via une connectique USB. Côté réglages, ces derniers se trouvent sur l'écouteur gauche du casque et permettent de régler le son, mais également de naviguer dans les playlists musicales. Quant au microphone, il intègre une technologie antibruit de fond.
Ricoh CX4
Ricoh a lui aussi profité hier de cette journée plutôt riche en actualité photo pour annoncer le renouvellement de son ultracompact superzoom. Le nouveau « Ricoh CX4 » loge effectivement un zoom 10,7 fois dans un boitier de 29,4 mm d'épaisseur.
Équivalent à un 28-300 mm f/3.5-5.6, il est plutôt grand angle à défaut d'être aussi lumineux qu'on le voudrait. Mais le principal apport du CX4 sur son prédécesseur est justement l'amélioration de sa stabilisation, qui atteint désormais une compensation de 3,7 EV et permet donc d'obtenir un cliché net avec 3,7 fois moins de lumière qu'un zoom non stabilisé. Il bénéficie en outre d'un nouvel autofocus à suivi de sujet comme il en apparait depuis peu chez tous les fabricants.
On retrouve par ailleurs sensiblement la même fiche technique, comprenant un capteur CMOS rétroéclairé de 10 millions de pixels, capable de photographier de 100 à 3200 ISO, y compris au format RAW (bien qu'il ne puisse être débrayé en mode manuel), et de filmer en HD 720p, ainsi qu'un écran LCD de 7,5 cm (3 pouces) à 920 000 points.
Le « Ricoh CX4 » sera commercialisé en France à partir du mois de septembre au prix public de 300 euros.
Équivalent à un 28-300 mm f/3.5-5.6, il est plutôt grand angle à défaut d'être aussi lumineux qu'on le voudrait. Mais le principal apport du CX4 sur son prédécesseur est justement l'amélioration de sa stabilisation, qui atteint désormais une compensation de 3,7 EV et permet donc d'obtenir un cliché net avec 3,7 fois moins de lumière qu'un zoom non stabilisé. Il bénéficie en outre d'un nouvel autofocus à suivi de sujet comme il en apparait depuis peu chez tous les fabricants.
On retrouve par ailleurs sensiblement la même fiche technique, comprenant un capteur CMOS rétroéclairé de 10 millions de pixels, capable de photographier de 100 à 3200 ISO, y compris au format RAW (bien qu'il ne puisse être débrayé en mode manuel), et de filmer en HD 720p, ainsi qu'un écran LCD de 7,5 cm (3 pouces) à 920 000 points.
Le « Ricoh CX4 » sera commercialisé en France à partir du mois de septembre au prix public de 300 euros.
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